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Accueil/Episodes/Saison 3/Episode 3.20 :
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Nom de code : Horizon :
Nom de code : Horizon
Informations :
Titre original : First Strike
: Nom de code : Horizon
: Martin Wood
: Martin Gero

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Synopsis :
Le Colonel Abe Ellis, aux commandes du tout nouveau vaisseau terrien, l'Apollo, mène une action préventive contre Asura, la planète des Réplicateurs, mais sa mission se solde par un échec et Elisabeth Weir est alors obligée de prendre des mesures radicales pour sauver Atlantis.



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Après quelques scènes extraites de Progeny et The return (part 1 et 2) l'épisode commence sur une discussion entre le docteur Weir et le docteur Keller (remplaçante de Carson). Le docteur Keller demande à Elizabeth quand elle sera remplacée car elle ne se sent pas faite pour diriger un service de cette taille. Weir tente de la rassurer en lui disant qu'elle se débrouille très bien pour l'instant et que le CIS examine les différentes candidatures (mais ils ne sont pas très rapides pour les décisions importantes). Elizabeth quitte le docteur Keller en lui disant qu'avec le temps elle supportera mieux la pression, ce à quoi le médecin demande dans combien de temps exactement (genre deux semaines lorsqu'elle sera remplacée et qu'elle pourra redevenir un médecin normal). Elizabeth la tiendra informée...

Dans le bureau de Weir, McKay et Weir discutent du fait que McKay ne veut pas avoir à évaluer son staff car il est le premier à l'admettre, il n'en connaît pas la moitié. Là-dessus Sheppard arrive en tendant l'évaluation de son staff terminée (vite apparemment). Sheppard fanfaronne avant que Weir ne lui fasse remarquer qu'il s'est contenté de mettre "excellent et au-dessus de la moyenne" à tout le monde ! Rodney demande si on peut faire ça, Weir répond illico "non !" et continue en leur servant un petit sermon sur le poste de dirigeant et les responsabilités que cela implique. Sheppard se justifie en disant que ceux qui travaillent pour lui sont tous excellents et au-dessus de la moyenne et que les dirigeants ne doivent pas mentir.

Elizabeth n'a pas le temps de répliquer. Elle est interrompue par Chuck qui lui signale que l'Appolo vient d'arriver. Il est en avance. Weir souhaite par radio, la bienvenue au commandant de l'Appolo, le colonel Ellis. Celui-ci se téléporte immédiatement avec quelque uns de ses hommes sur Atlantis. Ellis les envoie installer leur matériel dans la salle de conférence puis salue Weir, McKay et Sheppard et leur dit qu'il doit leur parler, mais en privé.

Dans la salle de conférence, Ellis expose que depuis l'attaque des Asurans sur Atlantis, le Dédale effectue des vols réguliers au-dessus de leur planète d'origine. Il montre des photos datant de deux mois auparavant où on ne voit rien. En revanche sur des photos datant de trois semaines, on voit que les Asurans construisent des vaisseaux, beaucoup de vaisseaux. McKay fait la réflexion que si les Asurans arrivent, ils doivent commencer à renforcer le bouclier. Ellis l'interrompt en lui disant que les Asurans ne viendront pas : avec le support du staff d'Atlantis, l'Appolo va lancer une frappe chirurgicale sur la planète d'origine des Asurans dans les douze prochaines heures.

Générique.

Dans la salle de conférence, Ellis informe les trois dirigeants qu'il compte détruire les vaisseaux Asurans avec des armes nucléaires (des Mark IX tactique) logée dans une plate-forme sur mesure ayant pour nom de code Horizon. L'Appolo est équipé de six de ces armes ainsi que de quatre leurres. Ellis a besoin que McKay fasse une dernière vérification avant le départ. McKay et Sheppard pense que six missiles ce n'est pas suffisant, les Réplicateurs étant ce qu'ils sont, ils peuvent s'auto répliquer. Ellis interrompt McKay pour lui faire remarquer que les Asurans ne sont pas comme les Réplicateurs de la Voie Lactée, leurs vaisseaux ne sont pas construits à partir de nano cellules, ils peuvent donc être détruits. McKay demande pourquoi ils n'attendent pas que les scientifiques de la zone 51 finissent le AAREP (Arme Anti Réplicateur à l'Echelle Planétaire, en français dans le texte). Ellis avoue qu'évidemment, il préférerait détruire la planète en entier et en une seule fois, mais ils ne peuvent pas se permettre d'attendre que les hommes de la zone 51 aient fini, les Assurans connaissent la localisation de la Terre et peuvent s'y rendre avec leur nouvelle flotte. Pour l'heure, l'Appolo va tenter de détruire les cibles militaires clés et reviendra pour la planète entière quand l'AAREP sera opérationnelle.

Ellis ordonne que McKay soit téléporté immédiatement sur l'Appolo. Le Colonel laisse Weir et Sheppard seuls dans la salle de conférence. Sheppard trouve le plan d'Ellis trop beau pour être vrai. Weir est surprise par sa réaction. Sheppard lui dit simplement que si les ogives font vraiment ce qu'Ellis dit... Weir lui fait remarquer que depuis qu'ils ont regagné la Cité, ils n'ont plus entendu parler des Réplicateurs. Sheppard lui répond que de toute évidence, ils ne sont pas partis. Weir émet l'hypothèse que les Asurans les prennent pour une menace et que leur FAR suffisent à les tenir loin d'eux. Sheppard conclue que les Asurans ne construisent pas autant de vaisseaux pour venir sur Atlantis mais sur Terre.

Weir rejoint le colonel Ellis dans la salle des commandes et lui demande si elle peut lui dire un mot. Il la suit dans son bureau. Elle lui dit de but en blanc que sa mission est une erreur, que c'est une frappe préventive inefficace et dangereuse pour Atlantis. Ellis ne pense absolument pas que sa frappe soit inefficace et répète que le CIS ne veut pas attendre. Weir pense qu'il serait préférable de négocier. Ellis lui rappelle que les Réplicateurs ne sont pas une race " vivantes " mais des armes. Weir lui signale qu'ils ont des émotions et que négocier permettrait de gagner du temps pour l'AAREP. Ellis ne veut rien entendre, il a des ordres et Weir n'a pas autorité pour stopper sa mission. Il la laisse seule.

A bord de l'Appolo, dans la salle des ogives, McKay et Zelenka ont fini leur travail de vérification. Ils sont tous les deux d'accord sur le fait que c'est une mauvaise idée. Radek dit qu'ils peuvent faire croire à Ellis qu'il y a un problème. McKay y a pensé mais il doute que le mensonge dure longtemps. Zelenka propose de rendre les ogives inutilisables. McKay dit qu'il a vu les photos et que c'est une armada que construisent les Réplicateurs. Il n'a pas très envie d'endommager l'ogive : si les Assurans débarquent avec cette force de frappe, ils pourraient facilement détuire Atlantis. Résigné, il demande à Zelenka de prévenir Ellis que les armes sont prêtes.

Aux pieds des escaliers menant à la salle de contrôle, Sheppard retrouve le docteur Weir. Il lui apprend que le colonel Ellis lui a demandé de participer à la mission : il restera à l'arrière dans un jumper occulté et rendra compte des résultats de l'attaque après le largage des ogives. Weir est déjà au courant. De son côté, Sheppard sait qu'elle a essayé d'obtenir l'annulation de la mission auprès de Woosley et du Général O'Neil mais sans succès. Sheppard tente de la convaincre qu'ils n'ont pas le choix. Elle l'interrompt en lui souhaitant bonne chance (mais elle fait quand même une tête de six pieds de long !)

L'Appolo est en hyperespace. McKay se trouve dans la salle de contrôle des armes et vérifie que tout est prêt. Il informe le colonel Ellis qu'ils pourront commencer la séquence finale dès qu'ils sortiront d'hyperespace. Ellis lui dit de commencer immédiatement. McKay proteste, ils sont toujours en hyperespace. Ellis répond qu'ils sortiront de la fenêtre d'hyperespace, très prêts de la planète, il ne veut pas prendre de risque. McKay obéi : l'ogive est prête à être lancée.

L'Appolo sort d'hyperespace. Ellis ordonne le lancement de l'ogive qui se dirige vers la planète et libère les six missiles nucléaires ainsi que les quatre leurres. A bord, McKay et Zelenka ont la confirmation des explosions des six missiles. Ellis donne alors le feu vert à Sheppard pour aller constater les dégâts avec le jumper. Ce dernier confirme le succès de la mission. L'Appolo repart, il reviendra dans une heure récupérer Sheppard.

De retour sur Atlantis, McKay et Zelenka sont devant un relevé télémétrique de la planète des Asurans. Ils ne sont pas d'accord : Zelenka pense qu'il y a trop d'interférences pour calculer un rendement, McKay pense le contraire. Ellis, lui, veut simplement qu'on lui dise si les cibles ont été détruites. D'après les relevés, McKay confirme qu'elles le sont.

Sheppard est lui aussi de retour sur Atlantis. Weir le félicite pour le succès de la mission. Teyla Emmagan arrive et s'enquiert de la mission. Sheppard dit qu'elle s'est bien passée. Ronon Dex, qui les a rejoints, annonce qu'il aurait voulu être là pour voir ça. Sheppard répond cyniquement que les batailles spatiales sont toujours mieux à la télé. Chuck interpelle le docteur Weir, ils ont un contact sur les scan. Quelque chose vient de sortir d'hyperespace et se dirige vers Atlantis. Ce ne sont pas les Wraiths. Weir ordonne donc de lever le bouclier. L'objet se place en orbite géostationnaire au-dessus de la Cité et Weir demande à Sheppard de prévenir le colonel Ellis qu'il doit retourner à bord de son vaisseau pour identifier l'objet.

L'Appolo s'approche. L'objet ressemble à un satellite mais au milieu se trouve ... une porte des étoiles ! Tous se demandent à quoi peut servir celle-ci lorsqu'un vortex se forme. Un rayon rouge s'en échappe et frappe l'Appolo qui a heureusement levé ses boucliers. Ellis ordonne de s'éloigner alors que le satellite se retourne pour frapper la planète Atlantica et s'arrêter juste au dessus de la Cité d'Atlantis. C'est un rayon en continu, ce qui est mauvais pour une douzaine de raisons différentes d'après McKay. L'Appolo tire sur le satellite mais il semble être protégé par un bouclier. Ellis demande à McKay de lui donner des options. Le bouclier du satellite tire son énergie du rayon, mais McKay a enregistré une légère baisse de rendement quand l'Appolo lui a tiré dessus. Ellis demande s'il peut téléporter une bombe derrière le bouclier mais McKay répond par la négative. Sheppard veut aller au fauteuil de commande et lui envoyer tous les drônes qu'ils ont mais la baisse n'est que de 0.002%, c'est-à-dire complètement inefficace. McKay doute que les drônes en viennent à bout tant que le rayon est actif. Il ordonne au colonel Ellis de partir et de le laisser réfléchir. Ronon Dex lui fait remarquer que le rayon est juste au-dessus de la Cité mais McKay répond que pour le moment, le bouclier tient bon. Il demande cinq minutes pour réfléchir.

Cinq minutes plus tard dans le bureau de Weir, McKay arrive à la conclusion qu'ils ont un problème, ce qui lui vaut une petite remarque assassine de la part de Sheppard (et il a fallu cinq minutes pour t'en rendre compte ?). McKay explique que le satellite est un vaisseau ayant des fonctions de base avec un système d'hyperpropulsion, de navigation, un bouclier et une source d'énergie suffisante pour lui permettre de se lier à sa cible et alimenter le bouclier jusqu'à ce que la porte soit activée. Une fois le vortex ouvert, le côté " appelant " tire un rayon à travers le vortex, ce qui constitue non seulement une arme redoutable mais aussi un moyen d'alimenter le satellite. De plus, le satellite étant suffisamment proche d'Atlantis, les atlantes ne peuvent plus utiliser leur propre porte (Principe des 38 minutes).

Ils sont coincés.

Sheppard pense que c'est une bonne chose : à la fin du cycle des trente-huit minutes, ils pourront activer leur porte et neutraliser celle du satellite. Ellis continue en disant que si le satellite n'est plus alimenté par le rayon, son bouclier ne tiendra plus et ils pourront ainsi le détruire. McKay brise leurs illusions en leur disant que le vortex durera certainement plus longtemps que trente-huit minutes. Ellis ne comprend pas, pour lui c'est une règle physique, un vortex ne peut durer que trente-huit minutes. McKay explique qu'il y a une exception (le SGC a d'ailleurs eu le problème plus d'une fois). Si on injecte suffisamment d'énergie à une porte, elle peut rester ouverte indéfiniment. Ceci demande une quantité incroyable d'énergie, un trou noir ou un nombre illimité de ZPM ...

Weir suppose donc que se sont les Réplicateurs qui sont derrière cette attaque et McKay l'espère (sinon, ils ont encore un super méchant sur le dos !). Weir demande s'ils peuvent encore contacter la planète " appelante ", vraisemblablement Asura. Mckay doit stimuler énormément le signal pour passer outre les interférences mais il pense pouvoir le faire. Weir lui dit de voir ce qu'il peut faire. McKay sort. Ellis demande à Weir pourquoi elle veut les contacter, elle répond qu'elle veut négocier. Ellis dit que c'est une perte de temps et qu'ils devraient plutôt chercher comment les détruire. Weir lui ressort alors à peu de chose près le discours qu'il lui avait tenu avant la destruction des vaisseaux Asurans : elle aimerait discuter avec lui de ce qui est bien ou mal mais elle est responsable du bien-être du personnel de la Cité et il n'a pas l'autorité pour lui dire de se retirer, donc malgré le respect qu'elle lui doit, elle va passer son appel. Elle sort, Ellis soupire en lançant un regard à Sheppard qui hausse les épaules pour dire que bah oui, c'est elle la chef sur Atlantis et qu'elle est un tout petit peu rancunière...

Dans la salle de contrôle, McKay à réussi à établir un contact vidéo avec les Asurans. On peu voir Oberoth sur l'écran, Weir et McKay sont surpris de le voir (et elle le lui dit) ils le croyaient mort/détruit. Oberoth explique qu'ils peuvent être répliqués un nombre incalculable de fois car ils existent à l'intérieur même de la collectivité. Weir enchaîne sur le fait qu'ils doivent cesser leur attaque immédiatement, Oberoth refuse évidemment. Weir explique qu'ils n'avaient pas d'autre choix que de détruire leurs vaisseaux et qu'ils ont fait ça pour les faire revenir à la raison. Oberoth réplique qu'ils doivent à leur tour détruire les Atlantes. S'ils ne désactivent pas leur rayon, Weir lui dit que cette fois, ils n'auront pas d'autre choix que de lancer une attaque massive contre Asura. Oberoth lui demande pourquoi ils ne l'ont pas déjà fait. Weir répond que la destruction des Asurans n'est pas son but, qu'elle aimerait que s'instaure une paix durable entre leurs peuples mais qu'elle ne peut pas les laisser construire une flotte capable d'attaquer la Terre. Oberoth répond qu'il en va de même pour les Asurans. Weir lui rappelle qu'à chaque affrontement, les Atlantes ont été victorieux. McKay intervient en signalant que les Asurans ont tenté de télécharger un virus par le réseau de communication, il a cependant pu le neutraliser. Weir ordonne de couper la communication. Elle demande à McKay combien de temps le bouclier tiendra si le vortex ne se ferme pas au bout des trente huit minutes et que le satellite est toujours alimenté : vingt-neuf heures lui répond McKay.

Au bout des trente-huit minutes, les Atlantes essayent d'ouvrir leur porte, sans succès. Ils ont besoin d'un autre plan, McKay s'y attelle.

Sheppard va voir le colonel Ellis dans la salle de conférence. Une fois seul avec lui, Sheppard lui dit qu'ils doivent retourner sur la planète des Asurans pour détruire l'arme à sa source. Malheureusement, l'Appolo n'est pas en état, le rayon a trop endommagé les boucliers. Sheppard ne peut s'empêcher de penser qu'ils sont à l'origine de ce qui arrive. Ellis lui demande s'il pense cela parce que Weir l'a dit. Sheppard nie. Ellis lui dit alors qu'il trouve qu'il a fait du bon boulot sur Atlantis et que c'est lui qui devrait diriger la Cité, pas Weir. Sheppard réfléchit un instant et lui répond, ironiquement, que si c'était lui le leader, alors contre qui il pourrait être furieux ? Ellis reste sérieux et dit que grâce à eux, la Terre n'aura pas à craindre l'arrivée des Asurans et qu'ils ont donc fait ce qu'il fallait.

De son côté, Weir se confie à Teyla Emmagan. Elle pense que le CIS essaye de la saper, qu'ils sont contents de l'avoir lorsque tout va bien mais que dès qu'une crise majeure se profile, ils donnent tout pouvoir aux militaires sans la consulter et l'informer. Elle envisage de démissionner s'ils se sortent de la situation actuelle. Emmagan lui conseille de prendre du temps pour réfléchir à cela mais elle est interrompue par un appel radio de McKay : il a du nouveau.

McKay se lance dans un de ses fameux discours sur l'origine de son idée mais Ellis l'interrompt, vexé, il balance simplement "nous la submergeons". Ellis ne comprend pas, McKay développe onc un peu plus : il parle de la Cité, il veut la submerger. Weir dit qu'elle croyait qu'on ne pouvait pas faire cela. Zelenka intervient en expliquant que c'était avant que les Anciens ne reviennent et activent certains systèmes. McKay l'interrompt en disant que l'explication technique est compliquée mais que ça peut marcher. Ce n'est certes pas une solution définitive mais Sheppard complète en disant que ça permettra de gagner du temps, une semaine d'après McKay. Ellis ne comprend pas, McKay explique donc que les Anciens ont submergé la Cité dix mille ans plus tôt lorsqu'ils étaient assiégés par les Wraiths. La quantité d'eau atténuait la puissance des armes wraiths comme elle pourrait le faire pour le rayon Asurans aujourd'hui. Zelenka émet quand même un bémol : ils ne peuvent savoir avec exactitude si cet effet tampon sera suffisant. Il se pourrait même que ce dernier n'ait aucun impact sur le rayon. McKay est d'accord mais pour lui, il faut essayer quand même. Ellis leur dit de le faire mais McKay lui fait remarquer que ce n'est pas à lui de décider. Weir demande quel est le pire scénario. McKay lui répond qu'au pire, ils ont mal lu les chiffres, ils utilisent une tonne d'énergie et la Cité ne se submerge pas. Weir donne son accord, McKay et Zelenka ont besoin d'une heure pour mettre les systèmes en place.

Une heure plus tard, les systèmes sont prêts. Après avoir informé le personnel, Weir donne le feu vert à McKay, la Cité descend doucement au fond de l'océan. Malheureusement, ce que Zelenka craignait arrive, le rayon n'est pas assez dissipé par l'eau, ils n'ont gagné que neuf heures de plus. Weir demande quel est le plan à présent, McKay répond un peu penaud :"c'était ça le plan" !

La Cité submergée est toujours attaquée par le rayon, sur un blacon, protégés par le bouclier, la Team discute. Ronon Dex annonce qu'il aurait aimé apprendre les sciences pour être utile dans de telles circonstances quant à Sheppard, il compare SGA-1 aux quatre fantastiques. Il explique à ses deux coéquipiers qui sont les quatre fantastiques mais s'embrouille, il finit par dire qu'il va jeter un oeil à ce que fait McKay.

Dans leur labo, McKay et Zelenka sont arrivés à cours d'idées. Sheppard vient aux nouvelles, son arrivée provoque une mini chamaillerie entre les deux scientifiques jusqu'à ce que Zelenka évoque que nulle part sur cette planète, ils ne pourront échapper au rayon. McKay et Sheppard ont alors la même idée au même moment, mais ne la verbalisent pas clairement, et Zelenka est complètement perdu devant le semblant de dialogue de ses deux amis qui cherchent un moyen d'augmenter leur niveau de puissance. Sheppard pense à la plate-forme découverte dans l'épisode Submersion, mais ils ne peuvent pas la déplacer. Sheppard et McKay sortent du labo sans se préoccuper de Zelznka qui n'a rien compris à leurs échanges.

McKay et Sheppard contactent la plate forme et leur demandent quel taux d'énergie elle peut fournir, la scientifique qui s'y trouve répond qu'ils viennent tout juste de commencer à creuser, ils ne peuvent fournir que neuf pour cent de puissance. Sheppard demande si le ZPM ne peut pas fournir l'énergie complémentaire, malheureusement, ce dernier sert à alimenter le bouclier contre le rayon. Il demande alors s'il pourrait servir si le rayon ne frappait plus le bouclier. McKay calcule rapidement qu'il lui faudrait environ une minute de répit sur le bouclier pour que leur plan fonctionne. McKay et Sheppard vont voir le colonel Ellis et lui explique qu'ils veulent qu'il envoie Lorne et son équipe à bord de F-302 pour récupérer un astéroïde qu'ils pousseront jusque devant le rayon. Ellis est sceptique mais vu les circonstances, il accepte. Lorne et son équipe s'ancre à l'astéroïde et doucement, très doucement, l'emmène jusqu'à devant le rayon Asuran.

Entre-temps, McKay et Sheppard ont mis au courant Weir qui demande à Chuck d'activer le haut-parleur. Elle informe le personnel de la Cité qu'ils envisagent de faire décoller cette dernière pour échapper au rayon Asuran.

Un peu plus tard, Weir est dans son bureau. Le colonel Ellis vient l'informer que le personnel non nécessaire à été transféré à bord de l'Appolo. Il demande si le docteur McKay a trouvé leur nouvelle planète. Il s'agit de M12-518, une planète non habitée avec un grand océan. Ellis en profite pour s'excuser auprès de Weir, excuses qu'elle accepte.

Sur le chemin qui mène à la salle du fauteuil, McKay et Sheppard récapitulent où ils en sont. Zelenka s'occupe de la programmation, la plateforme donnera le maximum (mais cela devrait la faire exploser) son staff à été transféré sur l'Appolo. Si le rayon ne frappe plus le bouclier, leur plan devrait fonctionner. McKay informe Sheppard que Lorne et son équipe devraient arriver dans une vingtaine de minutes. McKay laisse Sheppard s'installer dans la Chaise des Anciens, pour se préparer mais avant de lui souhaiter bonne chance, lui indique qu'il sera dans la salle de contrôle tandis que Zelenka sera dans la salle des ZPM.

Lorne arrive enfin au niveau du satellite, tout le monde est prêt, il abandonne donc l'astéroïde en s'assurant qu'il passe devant le rayon suffisamment lentement pour laisser une minute de répit au bouclier. Lui et son équipe se replient vers l'Appolo. La Cité commence sa remontée à la surface malgré le rayon qui la frappe toujours. Avant qu'elle ait atteint la surface, l'astéroïde passe devant le rayon, le ZPM n'est plus surchargé, cependant, arrivée à la surface, la Cité ne décolle pas.

Elle n'a pas assez de puissance.

Weir n'a pas le choix, elle ordonne de baisser le bouclier. McKay n'est pas d'accord, ils en ont besoin s'ils vont dans l'espace. Sheppard lui dit de le ré enclencher à 5000 mètres, ils ont juste besoin de suffisamment de puissance pour décoller. A contrecoeur, McKay baisse donc le bouclier.

Ca marche la Cité s'envole.

Weir se poste devant la baie vitrée de la salle de contrôle quand soudain l'alarme se déclenche, il est temps de lever le bouclier. Mais il n'a pas le temps de se remettre complètement en place ... le rayon Asuran traverse l'astéroïde et vient effleurer la tour de contrôle faisant exploser la baie vitrée. Weir est projetée à travers la salle. Sheppard, qui ignore ce qui s'est passé continue à contrôler la Cité et la fait en hyper espace. Une fois mentalement déconnecté, il entend l'appel de McKay qui demande une équipe médicale. Quand il arrive dans la salle de contrôle, le docteur Keller emmène le docteur Weir qui est mal en point (elle souffre d'une commotion cérébrale et ses pupilles sont dilatées). Sheppard retrouve McKay et lui demande ce qui s'est passé et quels sont les dommages. Il y en a peu étant donné la puissance du rayon mais l'alarme se déclenche à nouveau : la Cité est sortie d'hyper espace mais beaucoup trop tôt !

Rodney ne peut pas remettre l'hyper espace car il ignore pourquoi le système est défectueux. Il ne sait pas non plus où ils sont : il n'y a ni étoiles, ni planètes et encore moins de portes des étoiles. Ils sont perdus et ne peuvent pas utiliser leur porte. Pour noircir le tableau jusqu'au bout, il ne leur reste que vingt-quatre heures d'énergie. Passé ce délai, il n'auront plus de bouclier donc plus d'atmosphère...

A suivre...

Résumé par Saschka.


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