Informations :
Auteur : L&J forever
: 17/08/2006
Note : 9
Nombre de votes : 1
Histoire :
Résumer : des sous sols sont découvert sous la cité d'Atlantis
Genre : Shweir
Saison : Peut être la trois ou la six puisque j'ai lu un article ou Joe Flannigan a dit qu'il avait signé pour six saisons.
Note : A l'heure ou j'écris (12 août 2006 à 22h15) cette fanfic je vous informe que j'ai failli mourir dans un accident de voiture, j'ai fait des tonneau et j'ai percuter un mur à cause d'une fille qui m'a coupé la route mais le miracle a voulu que je reste en vie avec quelques bobo. SOYEZ TRES PRUDENT EN VOITURE / FAITES ATTENTION A VOUS A CHAQUE INTANT ET PROFITER DE LA VIE A 100%. Je ne touche pas d'argent pour ces fanfic et les personnages ne m'appartiennent pas. POUR LES GENS A QUI J'AI DONNER MON ADRESSE POUR DIALOGUER SUR LA SERIE JE L'AI CHANGER !!!!
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FIN DE LA FANFIC PRISONNI€RE PARTIE UNE
John : Elisabeth est ce que ça va ?
Liz : oui sa va. Mais je vous en prie il faut que je sorte de là. Une fissure est apparue et de l'eau s'infiltre dans la pièce.
John : quoi ?
Liz : ce que je veux dire c'est que d'ici trois à quatre heures il sera trop tard.
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John : quoi ? On n'a pas plus de temps ?
Liz : non je ne crois pas.
John (à Mac Kay) : est ce que tout le sous sol va être inondé ?
Mac Kay : non la porte va empêcher que l'eau vienne de ce coté.
John : il faut trouver une solution. Vous allez cogiter la dessus.
Mac Kay : vous me demander d'essayer de tout faire pour ouvrir cette porte ?
John : Non je vous l'ordonne.
Mac Kay : mais je ne sais même pas si on pourra l'ouvrir ? Je ne sais même pas si les codes d'accès sont les mêmes ? Et si je n'y arrive pas je ...
John : Vous avez intérêt à réussir sinon vous aurez affaire à moi.
Mac Kay : je ne me sens pas trop menacé.
John : Elisabeth ?
Liz : oui ?
John : je vais vous sortir de là.
Liz : je sais.
John : Aller au boulot. Je vais essayer d'arpenter les couloirs pour voir si il n'y a pas une autre ouverture ou autre OK !!! Ronon, Teyla vous faites la même chose.
Teyla et Ronon : compris.
Depuis environ une heure John marchait à l'affût de n'importe quel endroit ou il pourrait aller pour accéder à la salle ou Elisabeth était. Il essayait d'ouvrir toutes les portes mais sans succès. Il commençait à s'énerver. Mac Kay l'appela.
Mac Kay : Colonel ?
John (d'un ton brute) : quoi ?
Mac Kay : venez là.
John : ok j'arrive.
John fit marche arrière et rejoignit Mac Kay.
John : qu'est ce qu'il y a ?
Mac Kay : j'ai un plan des sous sols. Il y a une aération qui va jusqu'à la salle ou est Elisabeth.
John : j'y vais.
Mac Kay : il faut que vous tourniez à droite et que vous marchiez une vingtaine de mètres.
John : ok. Teyla et Ronon vous remontez et vous informez la base de se qui se passe. En attendant vous prenez tout les deux le commandement d'Atlantis.
John se mit en marche il alla à l'endroit que Mac Kay lui avait indiquer. En effet il trouva l'aération. Il ouvrit la trappe et se glissa à l'intérieur. Il commença à ramper. Il continua mais quelques secondes après il tomba sur une bifurcation. 1h30 était déjà passée.
John : Mac Kay ? Je suis dans le conduis d'aération mais je suis tombez sur une bifurcation.
Mac Kay : Attendez une minute. (....) Voilà il faut que vous tourniez à droite.
John : vous êtes sûr ?
Mac Kay : oui.
John : ok.
John continua de marché pendant cinq minutes. Il s'arrêtait à chaque bouche qu'il voyait. Pour le moment il n'avait rien trouvé. Il continua et tourna de nouveau à droite. La il entendit quelqu'un tousser. Il aperçu une bouches à environ deux mètres. Il continua d'avancer et il regarda par la bouche. Elisabeth était là dans un coin. La pièce faisait au moins 2 m de hauteur et il y avait déjà au moins 70 cm d'eau. Elle était dans un coin les bras repliés sur elle-même l'eau lui arrivait presque au dessus des genoux. Elle tremblait et John ne savait pas quoi faire. Il ne réfléchi pas une seconde, il tapa sur la bouche qui céda au premier coup. L'ouverture était malheureusement trop petite pour qu'il passe elle devait faire 40 cm de longueur sur 30 cm de large.
John : Elisabeth ?
Liz regarda la haut john.
Liz (la voix tremblante) : John ?
John : ça va ??
Liz : non j...j... j... 'ai tr.. très froid.
John : attendez.
John se remit quelque minutes dans le conduis. Lorsqu'il ressortit il portait juste un tee-shirt.
John : prenez ça.
Il lui tendit son pull et sa veste. Elisabeth les enfila.
John : faites tout se qu'il faut pour restez au chaud. Essayez de respirer doucement d'accord ?
Liz : ou.. oui !
John : on va vous sortir de là.
John ressorti du conduis il retourna dans ces quartiers pour prendre un autre pull et une autre veste et alla voir Mac Kay.
John : alors ?
Mac Kay : je n'ai aucun moyen d'ouvrir cette porte.
John : non vous devez trouvez quelque chose. Je ne peut pas la laissez mourir et je ne veux pas.
Là John s'énerva et commença à taper sur la porte le plus fort qu'il le put. Avec ses pieds, ses mains et n'importe quelles parties de son corps. Il cogna comme ça pendant cinq minutes. Ca faisait deux heures déjà qu'Elisabeth était dans cette salle et ils n'avaient encore rien trouvé pour la sauver. Lorsque John s'arrêta il avait les poings en sang. Il s'écroula par terre.
John : il doit bien avoir un moyen d'ouvrir cette porte.
John repartit dans le conduis et retourna à l'endroit ou l'on voyait la salle. L'eau avait encore montée ; d'après lui encore trente minutes et la salle serait sous l'eau. Il voyait qu'Elisabeth fatiguait de plus en plus. Elle avait les lèvres bleu se qui inquiétait beaucoup John. Et lui se sentait impuissant.
John : Elisabeth ? Est se que ça va ?
Liz : John si si ja... jamais je...
John : ah non je ne veux pas entendre ça. Vous allez vous en sortir. Est ce que vous entendez ;
Liz : n... non pas c....cette fois. J...je suis désolé.
John : non je ne veux pas de discours comme ça.
Liz : s...si vous s....saviez tout se q.....que j... j'aurais aimé faire ?
John : quoi ? Dîtes moi ?
Liz : j...j'ai été a Disney World quand j....j'était enfant mais presque a.....arriver là bas on a fait demi-tour car m....ma mère était malade ; je me disais qu....qu'un jour j'irai mais...
John : nous irons ensemble.
Liz : qu... quoi ???
John : je vous emmènerai là bas ; d'accord ? Quoi d'autre ?
Liz : eh bien j....je pense avoir trouvé l'homme d...de ma vie et je ne l....lui ai jamais dit " je t'aime ". et j'aurais voulu avoir des enfants, une maison et un chien.
John : eh bien une maison pourquoi pas plusieurs quartiers réuni pourrai faire l'affaire ; des enfant aussi mais un chien sur Atlantis ?
A ce moment précis la fissure s'agrandie laissant place à un trou d'environ 30cm sur 60.
John : non pas ça !
Liz : (hurlant) : John !!!
Il regarda à l'intérieur de la pièce. Liz avait disparu sous l'eau. John regardait partout puis il l'aperçu. Son corps flottait à la surface de l'eau.
John : Beckett ? On va avoir besoin de vous.
Beckett : ok j'arrive tout de suite.
Tout à coup John eu une idée. Il sortit du conduis et courra tant qu'il put. Là Mac Kay le regarda passer. Quelques minutes plus tard John revint avec du C-4.
Mac Kay : qu'est se que vous compter faire avec ça ?
John : je vais faire sauter cette porte.
Mac Kay : vous êtes cinglé.
John : arranger vous pour fermer les porte de cette section dès que nous aurons récupérer Elisabeth.
Mac Kay : mais vous êtes fou ? Qui sais se que les déflagrations vont provoquer comme dégâts.
John : j'en ai rien à faire faites se que je vous ai dit.
Mac Kay : Ok
John plaça les charges sur la porte. Il régla le détonateur sur 5 secondes. Il se dépêcha d'aller plus loin et attendit les cinq secondes. Les charges explosèrent. L'eau commença à s'écouler. John regardait partout. Il aperçut enfin le corps. Il flottait. John attrapa Elisabeth.
John : vite fermez les portes.
Mac Kay s'exécuta et ferma les portes de la section. John quant à lui vérifiait le poul d'Elisabeth. Il était très faible et elle ne respirait plus.
Mac Kay : alors ?
John : elle ne respire plus.
Mac Kay : Beckett ? Dépêchez vous Elisabeth ne respire plus. Beckett va arriver bientôt.
John : je vais lui faire du bouche à bouche.
John l'allongea, souleva sa nuque et entreprit de lui faire le bouche à bouche. A chaque fois il vérifiait comment était le pouls. Il fait ça pendant trois minutes et tout à coup elle se mit à tousser. John la souleva et la mit assise.
John : respirez, respirez.
Elisabeth elle toussait. Lorsqu'elle eu finit elle tomba inconsciente dans les bras de John. Il commença à la frictionner et à la serrez aussi fort qu'il put pour la réchauffer. Il vit que ce si n'avait pas trop d'effet. Il eu alors un éclair de lumière. Il arracha les vêtement qu'Elisabeth avait, elle était en soutien gorge. Il enleva son pull et le lui enfila puis il pris sa veste et fit de même. A ce moment Beckett arriva.
Beckett : Je croyais qu'elle ne respirait plus ?
John : je lui ai fait du bouche à bouche.
Beckett ( après avoir prit le poul d'Elisabeth): vous avez bien fait vous lui avez sauver la vie. Elle est dans un état d'hypothermie aggravé. Son corps est à 30°, il faut à tout pris aller à l'infirmerie pour la réchauffer.
Beckett mit Elisabeth sous perfusion et la brancha à un électroencéphalogramme. Le bip qu'émettait l'appareil ne présageait rien de bon. Arrivé à l'infirmerie Beckett commença à faire différentes choses.
John : qu'est ce que vous faites ?
Beckett : il faut à tout prit la réchauffer. Nous allons donc mettre dans la perfusion une solution ultra vitaminé que l'on va faire chauffer jusqu'à 15° et le faire passer dans ces veines. Ensuite nous allons mettre une couverture chauffante sur elle et pour finir nous allons lui faire un lavement d'estomac.
John : pourquoi un lavement d'estomac ?
Beckett : il fau t lui enlever l'eau qu'elle avalée.
John : d'accord.
Beckett : je dois vous dire quelque chose !
John : quoi ?
Beckett : il se peut qu'elle...
John : non elle va vivre je le sais.
Beckett : alors vous devriez allez dormir. Je vous appellerai dès qu'elle sera réveillée.
John : d'accord.
John partit en direction de ses quartiers. Il s'installa dans son lit et regardait le plafond. Elisabeth était en vie mais elle était faible. Qui sais se que la nuit présageait.
Il était très inquiet et n'arrivait pas à dormir. Il décida d'aller se balader pour se changer les idées. A première vue il prenait le chemin du bureau d'Elisabeth il entra à l'intérieur puis il alla sur le balcon, leur balcon. Il regarda l'horizon.
John ( pensée) : je vous en prie ne me l'enlevez pas.
A ce moment précis à l'infirmerie.
Liz : John ?
Beckett : non c'est le docteur Beckett. Colonel Elisabeth est réveillé.
John : j'arrive.
John ne perdit pas une minute et s'en alla en courant. Arrivé là bas John s'arrêta et reprit son souffle.
John : comment elle va ?
Beckett : je pense que ça va aller
John : merci.
John s'approcha d'Elisabeth. Elle était allongée et elle semblait en meilleure forme qu'il y a quelques heures mais elle avait l'air encore faible.
John : alors comment ça va ?
Liz : j'ai l'impression que je me suis fait écrasé par un camion. J'ai mal partout.
Beckett : c'est normal. Le fait que vous souffriez d'hypothermie aggravée, vous allez avoir des courbatures. De plus vous auriez pu mourir si John n'était pas intervenu.
Liz : Comment ça ?
Beckett : déjà il a eu l'idée de faire sauté la porte de la salle avec du C-4. Ensuite il vous a réanimé en vous faisant du bouche à bouche. Il vous a frictionné le corps, à enlever vos vêtements mouillé et vous a mis les siens. Il vous a pour ainsi dire sauver la vie.
Liz (à John) : Merci !
John : de rien.
Beckett : bon il faut qu'elle se repose maintenant.
John : d'accord ; (à Elisabeth) : je reviendrai demain.
Liz : d'accord.
John s'approcha d'elle et déposa un baiser sur sa joue.
John : bonne nuit.
Liz : merci.
John sorti de l'infirmerie et Elisabeth se recoucha dans le lit et elle s'endormit presque instantanément. John lui alla dans ces quartiers. Quand il arriva à l'intérieur il ferma sa porte, il s'allongea dans son lit heureux que la femme qu'il aime soit vivante. Il s'endormit avec cette pensée si douce. Le lendemain lorsque John se réveilla il était encore tôt. Il alla au mess et pris son petit déjeuner. Quant il eut terminé il eut une idée. Il alla prendre un plateau et mit dessus plein de bonne chose : il avait décider d'emmener le petit déjeuner à Elisabeth. Lorsqu'il arriva elle dormait encore. Il décida de ne pas la réveiller. Il resta là à la regarder dormir. Au bout d'environ dix minutes, Elisabeth commença à s'agiter. Peu à peu elle se réveilla. Quand elle ouvrit les yeux John était là et la regardait.
Liz : sa fait longtemps que vous êtes là ?
John : environ 10 bonnes minutes.
Liz : il fallait me réveiller !
John : non vous aviez besoin de repos. Tenez j'ai pensé qu vous auriez faim.
Liz : merci c'est très gentil.
Elisabeth bu un peu de café et mangea quelques toasts. Puis Beckett arriva.
Beckett : bonjour Elisabeth comment vous allez ?
Liz : ça va.
Beckett : je vois que John a pris les devants.
John : Oui.
Liz : Carson serait-t-il possible que j'aille faire un tour ? il faut que je prenne l'air !!!
Beckett : a une condition.
Liz : laquelle ?
Beckett : vous prenez ceci. => Il lui montra un fauteuil roulant.
Liz : d'accord.
Liz se leva et s'installa dans le fauteuil. John se mit derrière elle et commença à la pousser. John trouvait qu'Elisabeth n'était pas très lourde, il n'avait pas trop de mal à la transporter.
Liz : vous m'emmener où ?
John : vous verrez.
Ils continuèrent à avancer. Au bout d'un moment Elisabeth su ou John l'emmenait. Il l'emmenait sur le balcon. Là John arrêta le fauteuil il s'accroupit près d'Elisabeth.
John : alors heureuse ?
Liz : très heureuse.
John : je savais que ça vous plairait.
Liz : merci.
John : de rien.
Liz se tourna vers lui et l'embrassa.
Liz : tu sais quand je cru que j'allais mourir et que j'ai dit que il y avait des choses que j'aurais aimer faire ?
John : oui je me souviens.
Liz : je vais en faire une. John je t'aime.
John : je t'aime aussi Liz.
Puis il s'embrassèrent.
John : écoute pour toute les choses que tu voulais faire. La maison, les enfants et le chien on le fera.
Liz : tu es sûr ?
John : je n'ai jamais été aussi sûr de toute ma vie.
THE END !!!!
Dîtes moi se que vous en pensez !!!